Capri, Elbe, Porquerolles : d’une île à l’autre.
Le journal de Cécile.
Vendredi 23, départ de Capri à 5h du matin pour Elbe. Arrivée le samedi à 16h, et mouillage à Marina di Campo, par mer d’huile dans la petite baie, contrastant avec la nuit agitée d’un bateau secoué dans lequel personne n’a dormi.
Soirée sur internet au bar du port, avec l’apéro offert par le patron à l’occasion de la demi-finale de rugby. Du monde dans la salle, mais on se concentre sur notre travail !
Dimanche 25, petit entretien sur le bateau, montée en haut du mât et à 10h30, cap sur Porquerolles. Journée tranquille au moteur, puis organisation des quarts de nuits ; prévision d’un vent annoncé de Nord Est à 20 nœuds en milieu de nuit (il n’est arrivé qu’à 6h). Belle lune avec grand halo lumineux, ballet de dauphins à minuit.
Naviguer de nuit.
« Partir, quelle que soit l’heure, c’est toujours une sorte de crépuscule.
Derrière soi, le quai, la ville, les amis, la chaleur, la lumière. Devant soi, ce qui n’est pas connu. Pour un jour ou pour un mois, l’imprévisible, l’obscur, autrement dit, la nuit. Et arriver, quelque soit l’heure, c’est toujours un peu une aube. ».
Jean-François Deniau.
Extrait de « La mer est ronde » dans la bibliothèque du bord.
Hélène ARGELLIES
Un magnifique journal avec de superbrs photos qui m’ont permis de « naviguer au plus près » avec vous pendant un mois jusqu’à votre arrivée aujourd’hui à Porquerolles.
MERCI BEAUCOUP CÉCILE ♡♡♡
Cécile REGNIER
Merci Hélène pour ton petit message. Je suis contente d’avoir pu te faire partager ces moments ! et on va essayer d’imaginer d’autres façons encore de vous les raconter.